20:05 h hier soir sur ma Rolex. Photo ET |
L’affaire Becca dite « des montres » est une Quelconquerie.
Quiconque lira le communiqué de presse que j’appellerai « généralement
quelconque » ci-dessous, apprendra que l’affaire des montres Rolex ou autres
marques généralement quelconques, est une affaire de médisance que quelconque
adversaire aura inventée.
Nous apprenons que l’instruction, non-généralement quelconque, puisque clôturée
en à peine 5 ans (généralement quelconque serait de 10-12 ans), arrive à la
quonqlusion que toutes les montres Rolex et autres montres généralement
quelconques sont répertoriées, retrouvées ou rendues.
L’inventaire n’est pas au
nom d’une quelconque société qui aurait acquis la collection, mais au nom du défendant.
Qui aurait de toute façon remboursé quiconque aurait avancé les fonds pour
cette acquisition selon un contrat généralement quelconque.
Quant à moi, je certifie à tout un quelconque que je n’ai jamais sollicité
ni reçu de montre de quiconque ou tout autre cadeau généralement quelconque
pour changer l’une ou l’autre quelconque contribution de la rédaction du
Feierwon en faveur de quiconque. Ce qui montre que quiconque ne recoit pas de
montres, ne peut être montré du doigt.
Après cette Quelconquerie, et pour réinventer mon inventaire, je m’offre
une séance de Qigong maintenant. A la bonne heure ! Cela rolex !
Communiqué de presse
Flavio
BECCA a été très satisfait d’avoir enfin pu s’exprimer devant le juge
d’instruction au sujet de cette affaire, dite des montres, au terme d’une
attente de près de 5 ans d’enquête.
Dès
l’entrée en matière le juge d’instruction a pu nous préciser que la police
judiciaire avait procédé à une enquête très fouillée au sujet du devenir de
toutes ces montres achetées par Flavio Becca. L’enquête a permis de conclure
que toutes les rumeurs qui ont pu circuler par le passé au sujet de remises en
guise de cadeaux, voire de corruption en faveur de décideurs généralement
quelconques à Luxembourg ou à l’étranger, sont sans le moindre fondement.
En
d’autres mots toutes les montres achetées ont pu être retrouvées et ont été
inventoriées par la police judiciaire et par conséquent n’ont pas servi à des
fins inavouables d’une manière généralement quelconque.
En
conclusion dans cette affaire il n’y avait pas lieu de parler de corruption ou
de prise d’intérêt d’une manière généralement quelconque, ce que nous savions
dès le départ. L’enquête minutieuse de la police judiciaire (il y a au moins
une vingtaine de rapports) a permis de prouver sans ambiguïté l’absence de tout
acte de corruption.
Au vu de
ce que nous avons entendu et vu ce matin nous pouvons être raisonnablement
confiants que cette affaire se terminera par un non-lieu en chambre du conseil.
Luxembourg,
le 20 mai 2016.