Thursday, March 10, 2016

Le Luxembourg est un Paradis judiciaire


La lumière n’est pas luxembourgeoise. 
Photo ET





















Le Luxembourg est un Paradis judiciaire

Le 29 février 2004, sa sœur Sylvie décédait à l’hôpital Marie-Astrid de Niederkorn, à la suite d’une erreur de diagnostic. Douze ans après, cette habitante de Pétange attend toujours le jugement de cette affaire.

http://www.lequotidien.lu/faits-divers/erreur-medicale-la-soeur-dune-victime-deplore-la-lenteur-de-la-justice/


Cet article paru au « Quotidien » dévoile l’état lamentable de la Justice luxembourgeoise, qui a répétition produit des scandales similaires. Le plus souvent ce sont des crimes financiers, qui  définissent bien le Paradis judiciaire comme paradis pour le coupable, mais comme enfer pour les victimes. Les responsables luxembourgeois, à force de tolérer cette situation digne d’un état failli s’en lavent les mains, et le scandale se perpétue.

Mais la grande tristesse dans cette affaire, est qu’il y a eu mort d’une jeune femme, et la justice laisse la famille désemparée. Que de mal ! Que d’incompétence aussi.




Saturday, March 5, 2016

Évangile selon Lucky Luke, chapitre 1, versets 1 à 14 :


La Terre Promise, un Miroir?












































Évangile selon Lucky Luke, chapitre 1, versets 1 à 14 :

Le Retour du Fils Prodigue


Il dit encore : Il est pour le plus grand bien de mon peuple, de vendre machines volantes, banques et autres privilèges aux Qatariens pour quatre fois rien. Ils nous seront éternellement obligés, eux qui vivent dans l’abondance. Et il fut ainsi, que le peuple mal comprenant chassa le maître et son dauphin. Le dauphin alla se mettre au service des Rois Mages dans des terres brumeuses et lointaines. Mais une grande famine ravagea les trésors de ses maitres dans toute la Deutsche, en tout 6 milliards de deniers. Et il a commencé à se trouver dans le besoin. 

Etant rentré en lui-même, il se dit : Je me lèverai, j'irai vers mon peuple, et je lui dirai : Mon peuple, j'ai péché contre le ciel et contre toi, je ne suis plus digne d'être appelé ton fils ; mais ne me traite pas comme un mercenaire. Et dans sa tribu on entendit grommeler : il y a tant d'années que nous servons, sans avoir jamais transgressé nos mandats, nous ne tuerons point le veau gras pour célébrer ton retour. 

Mais les Rois Mages, ceux-là même qui eurent tellement de désappointements avec leurs deniers et les machines volantes dirent : Réjouissons-nous, il reste encore la maison des deniers acquise à bon prix. Et ils ordonnèrent que le dauphin soit réuni avec son ancienne serviteuse, et offrirent aussi à pourvoir au salut de la maison qui produit et imprime « La Parole ». Réjouissons-nous, parce que le fils prodigue était perdu et il est retrouvé.